Le Google Play Store supprime la fonctionnalité ‘Partager des applications’

Dans la dernière mise à jour du Google Play Store (version 44.1), Google a discrètement supprimé une fonctionnalité populaire, « Partager des applications », disponible depuis début 2021. Cette fonctionnalité permettait aux utilisateurs de partager facilement leurs applications installées avec leurs amis et leur famille via Nearby Share, un système de partage de fichiers peer-to-peer propulsé par la technologie Fast Share de Google.

La mise à jour, rapportée pour la première fois par 9to5Google, met en évidence que l’option « Partager des applications » était auparavant accessible dans la section « Gérer les applications et l’appareil » du Play Store. Les utilisateurs pouvaient partager des applications directement avec d’autres sans nécessiter de connexion internet ou l’utilisation de données mobiles — une fonctionnalité particulièrement utile pour les utilisateurs dans des zones avec une connectivité limitée ou inexistante.

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La fin d’une ère : Pourquoi la fonctionnalité ‘Partager des applications’ a-t-elle été supprimée ?

La fonctionnalité « Partager des applications » permettait aux utilisateurs Android de transférer des applications entre appareils sans nécessiter une connexion internet. En sélectionnant simplement l’application dans la section « Gérer les applications et l’appareil », les utilisateurs pouvaient envoyer et recevoir des applications via Bluetooth ou Wi-Fi, réduisant ainsi l’utilisation de données et permettant le partage d’applications dans des zones où la couverture réseau est faible. Cela en faisait un outil pratique pour ceux qui ont des forfaits de données limités ou un accès internet peu fiable.

De plus, « Partager des applications » offrait une expérience fluide par rapport à d’autres méthodes, comme l’envoi de liens vers des listings sur le store d’applications ou l’utilisation de pièces jointes par email. La facilité de transfert d’applications directement entre appareils était quelque chose que de nombreux utilisateurs appréciaient, en particulier dans les zones rurales ou les régions en développement où la connectivité internet peut être limitée.

Bien que Google n’ait pas commenté officiellement la suppression de cette fonctionnalité, plusieurs experts du secteur ont spéculé que la décision pourrait être liée à des préoccupations de sécurité. Le partage peer-to-peer (P2P), qui sous-tend des fonctionnalités comme Nearby Share, peut être vulnérable à des abus, permettant potentiellement la propagation de logiciels malveillants ou d’applications piratées parmi les utilisateurs. Bien que cette fonctionnalité était pratique et économe en données, ces risques de sécurité pourraient avoir surpassé ses avantages pour Google.

Solutions alternatives pour partager des applications

Bien que la fonctionnalité « Partager des applications » ait disparu, il existe encore plusieurs moyens de partager des applications sur les appareils Android :

Fichiers de Google : Cette application préinstallée reste une excellente option pour partager des applications. Les utilisateurs peuvent accéder à la section « Applications » dans Fichiers de Google et sélectionner l’application qu’ils souhaitent partager. Ensuite, ils peuvent utiliser la fonctionnalité de partage de l’application pour transférer l’application vers un autre appareil.

Applications tierces de partage de fichiers : Plusieurs applications tierces offrent des capacités de partage peer-to-peer, comme SHAREit, Send Anywhere, et d’autres. Ces applications permettent aux utilisateurs d’envoyer des applications et des fichiers entre appareils sans nécessiter de connexion internet. Cependant, les utilisateurs doivent être prudents lorsqu’ils utilisent des applications tierces, car des risques de sécurité existent, notamment la possibilité de transférer des logiciels malveillants ou des logiciels indésirables.

Partage manuel d’APK : Les utilisateurs peuvent également partager des fichiers APK (les fichiers d’installation des applications Android) directement. Cette méthode consiste à télécharger l’APK de l’application que vous souhaitez partager et à le transférer manuellement via Bluetooth, câble USB ou d’autres méthodes de partage de fichiers. Bien que cela permette aux utilisateurs de contourner Google Play, cela nécessite d’activer « Installer à partir de sources inconnues », ce qui peut exposer les utilisateurs à des risques de sécurité s’il n’est pas utilisé avec précaution.

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Pour les utilisateurs qui partageaient régulièrement des applications sans connexion internet, ce changement peut être frustrant. Cependant, Google a proposé des solutions alternatives, comme Fichiers de Google, qui permettent toujours de partager localement. Il est également important de noter que Nearby Share n’est pas supprimé — il reste une option viable pour envoyer des fichiers entre appareils, bien qu’il ne soit plus utilisé pour le partage d’applications.

Google améliore la détection des trackers pour les utilisateurs d’Android

Les trackers Bluetooth ont simplifié la tâche de localisation des objets perdus, mais ils présentent également un risque d’utilisation abusive pour un suivi secret. En réponse, Apple et Google ont introduit des alertes de tracker pour avertir les utilisateurs de la présence d’appareils Bluetooth inconnus. Google a maintenant étendu cette fonctionnalité, permettant aux utilisateurs d’Android non seulement d’être alertés mais également de localiser ces trackers inconnus.

Nouvelles fonctionnalités ajoutées aux trackers compatibles avec Find My Device

Google a introduit deux nouveaux outils pour améliorer la sécurité des utilisateurs d’Android contre une éventuelle utilisation abusive des trackers Bluetooth :

Fonctionnalité «Suspendre temporairement la localisation»

Cette fonctionnalité est conçue pour être activée lors de la réception d’une notification d’un tracker inconnu. Elle empêche le téléphone de l’utilisateur de mettre à jour sa position avec le tracker pendant une période de 24 heures, offrant ainsi une protection contre un suivi potentiel.

Fonctionnalité «Trouver à proximité»

Cet outil aide les utilisateurs à localiser un tracker s’il n’est pas immédiatement visible ou audible. En cliquant sur la notification de traqueur inconnu, les utilisateurs peuvent afficher une carte indiquant le dernier emplacement connu du traqueur. Les utilisateurs peuvent ensuite émettre un son pour aider à localiser l’appareil, sans avertir le propriétaire du traqueur. Si le traqueur reste insaisissable, « Find Nearby » utilise Bluetooth pour connecter le téléphone de l’utilisateur au traqueur et affiche une forme qui se remplit à mesure que l’utilisateur se rapproche de l’emplacement du traqueur.

Ces nouveaux outils sont disponibles sur tout appareil Android exécutant la version 6.0 et supérieure, que l’utilisateur dispose ou non d’un compte Find My Device ou de son propre traqueur. Cette accessibilité universelle est une étape importante pour garantir que les utilisateurs d’Android peuvent gérer en toute sécurité les traqueurs Bluetooth inconnus.

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En mai 2024, Google et Apple ont adopté une norme commune pour détecter les traceurs Bluetooth inconnus sur les plateformes Android et iOS, suite au lancement du réseau Find My Device de Google en avril. Ces mesures s’inscrivent dans le cadre d’initiatives plus vastes des deux entreprises visant à empêcher que les traceurs ne soient utilisés pour des activités illicites telles que le vol ou le harcèlement.

Google demande au gouvernement américain de dissoudre l’accord exclusif entre Microsoft et OpenAI

Google (GOOGL.O) a demandé au gouvernement des États-Unis de mettre fin à l’accord exclusif de Microsoft (MSFT.O) pour héberger la technologie d’OpenAI sur ses serveurs cloud, selon un rapport publié mardi par The Information.

Cette demande aurait été formulée après que la Federal Trade Commission (FTC) américaine a interrogé Google au sujet des pratiques commerciales de Microsoft dans le cadre d’une enquête plus large, a précisé le rapport, citant une source directement impliquée dans la discussion.

Des entreprises technologiques concurrentes, comme Google et Amazon (AMZN.O), qui louent elles aussi des serveurs cloud, souhaitent héberger les modèles d’OpenAI. Cela permettrait à leurs clients cloud d’accéder aux technologies de la startup sans devoir passer par les serveurs de Microsoft, selon le rapport.

En outre, il a été signalé que les entreprises qui achètent la technologie d’OpenAI, créateur de ChatGPT, via Microsoft pourraient être confrontées à des frais supplémentaires si elles n’utilisent pas déjà les serveurs de Microsoft pour leurs opérations.

Google et d’autres concurrents ont souligné que ces coûts supplémentaires risquent de nuire aux clients, ajoute le rapport.

Google présente Willow, sa dernière puce quantique

Mercredi, Google a présenté Willow, sa dernière puce quantique. Depuis cette annonce, de nombreux articles en ligne ont salué cette avancée en des termes enthousiastes. Certains titres affirment que Willow “écrase les ordinateurs classiques sur une échelle cosmique”, tandis que d’autres parlent de l’ordinateur quantique “époustouflant” dévoilé par Google. L’un des arguments principaux est que Willow serait capable d’effectuer un calcul qui, selon les théories, prendrait plus de 14 milliards d’années à un ordinateur classique, soit la durée même de l’existence de l’univers. Toutefois, cette démonstration ne se résume pas à une simple question de temps.

Contrairement à ce qu’il avait fait avec son précédent processeur quantique Sycamore en 2019, Google n’a pas revendiqué la “suprématie quantique” avec Willow. À l’époque, Google avait annoncé que Sycamore avait réalisé une tâche en 200 secondes qui aurait pris 10 000 ans à l’ordinateur classique le plus rapide du monde. Cet exploit avait été interprété comme un signe que Google avait créé un ordinateur quantique capable de résoudre des problèmes que les meilleurs ordinateurs classiques ne pouvaient même pas aborder. Cependant, cette revendication avait été controversée, certains chercheurs affirmant que l’annonce était “indéfendable” et “erronée”. Depuis lors, Google a évité de parler de suprématie quantique, préférant dire qu’il avait franchi un cap “au-delà du calcul classique”.

Le problème avec Sycamore résidait dans le fait qu’il ne s’agissait pas d’un ordinateur quantique à usage général, mais d’une machine spécifiquement conçue pour surpasser les ordinateurs classiques dans une seule tâche : le “random circuit sampling” (RCS). Google lui-même précise que cette méthode n’a “aucune application pratique connue”. Cependant, avec Willow, la société revient à promouvoir la performance du RCS.

Des résultats impressionnants, mais avec des limites

Google indique que Willow est capable d’effectuer un benchmark RCS en moins de cinq minutes. En comparaison, il faudrait à Frontier, actuellement le deuxième superordinateur le plus puissant au monde, 10 septillions d’années pour accomplir la même tâche. Cette différence de temps a conduit Google à évoquer l’idée que le calcul quantique pourrait se dérouler dans de nombreux univers parallèles, soutenant ainsi la théorie du multivers.

Cependant, l’argument principal de Google pour la performance de Willow repose sur le fait que le RCS est désormais un standard dans le domaine de l’informatique quantique. Hartmut Neven, le fondateur de Google Quantum AI, affirme que si un ordinateur quantique ne réussit pas dans cette tâche, il ne pourra pas réussir dans d’autres algorithmes non plus. Cependant, des entreprises comme IBM et Honeywell utilisent une autre mesure, le “quantum volume”, qui offre une compréhension plus holistique des capacités d’un ordinateur en prenant en compte l’interaction des qubits.

Le véritable progrès apporté par Willow réside dans sa capacité à réduire les erreurs à mesure que le nombre de qubits augmente. Le principal défi des ordinateurs quantiques a toujours été de maintenir la stabilité des qubits, qui ne conservent leur état quantique que pendant une fraction de seconde. À mesure que le système gagne en qubits, le risque d’erreurs augmente. Google affirme avoir trouvé une solution permettant de maintenir une faible marge d’erreur, même avec un grand nombre de qubits.

Willow devient ainsi le premier système “en dessous du seuil”, une étape cruciale qui pourrait permettre de concevoir des ordinateurs quantiques à grande échelle. Selon Google, cette avancée rapproche l’entreprise de la mise en place d’algorithmes quantiques pratiques et commercialement pertinents, qui ne peuvent être reproduits par des ordinateurs classiques.

Google étend la prise en charge du système d’exploitation pour les séries Pixel 6 et 7

Google a annoncé qu’il étendait la prise en charge du système d’exploitation pour certains appareils Pixel, en proposant plus de mises à jour que ce qui avait été initialement promis. Ce changement affecte les propriétaires des séries Pixel 6, Pixel 7 et Pixel Fold, qui peuvent désormais s’attendre à recevoir deux années supplémentaires de mises à niveau du système d’exploitation au-delà de l’engagement initial.

Lors du lancement de ces appareils, Google avait initialement promis trois ans de mises à jour du système d’exploitation et cinq ans de correctifs de sécurité, à compter de leurs dates de sortie. Cependant, une page d’assistance mise à jour confirme désormais que ces appareils bénéficieront de cinq ans de support du système d’exploitation et de sécurité au total, y compris « des fonctionnalités nouvelles et améliorées avec Pixel Drops ».

Cette décision est considérée comme une réponse à la concurrence sur le marché des smartphones. Lorsque le Pixel 6 a fait ses débuts en 2021, Samsung proposait déjà quatre ans de mises à jour du système d’exploitation pour son Galaxy S22, établissant ainsi une nouvelle norme. Google a dû s’adapter et, avec le Pixel 8, ils proposent désormais sept ans de mises à jour du système d’exploitation et de sécurité, ce qui les place en tête du secteur en termes de longévité des mises à jour. Cependant, les propriétaires de Pixel 6 et 7 se sont peut-être sentis légèrement laissés pour compte par rapport à la précédente politique de mise à jour du système d’exploitation de trois ans. La décision de Google d’étendre la prise en charge de ces modèles contribue à combler cette lacune, et c’est certainement un changement bienvenu.

Il convient également de noter que la définition d’une « mise à jour du système d’exploitation » a évolué. Avec davantage de mises à jour diffusées via le framework Play, les anciennes versions d’Android bénéficient de fonctionnalités et d’améliorations supplémentaires. Bien que la mise à niveau annuelle du système d’exploitation soit toujours importante, elle n’est plus aussi cruciale qu’elle l’était autrefois. Certaines fonctionnalités, comme Night Sight Video et Zoom Enhance, sont réservées aux appareils plus récents et plus haut de gamme, mais l’inclusion de Pixel Drops pour des fonctionnalités supplémentaires au cours des deux prochaines années est toujours un signe prometteur pour les appareils plus anciens.

Auparavant, le Pixel 6 devait recevoir sa dernière mise à niveau du système d’exploitation avec Android 15 cette année. Cependant, après que la série Pixel 6 a été incluse dans la version bêta d’Android 16, il est devenu clair que ces appareils seront également mis à jour vers Android 16 et 17. Cette extension de prise en charge est une évolution positive importante pour les propriétaires de Pixel 6 et Pixel 7, leur garantissant de recevoir des mises à jour logicielles continues pendant une période plus longue que prévu initialement.

Google DeepMind lance l’outil d’IA GenCast avec une vitesse et une précision impressionnantes

Le domaine des prévisions météorologiques a franchi une étape importante : des chercheurs ont présenté GenCast, un système de prévision météorologique basé sur l’IA développé par Google DeepMind. Ce système fournit des prévisions plus rapides et plus précises que le modèle ENS du Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF), considéré depuis longtemps comme le leader mondial des prévisions météorologiques.

Quels sont les avantages de GenCast ?

Précision améliorée

GenCast a surpassé l’ENS jusqu’à 20 % dans les prévisions météorologiques à court terme et a fait preuve d’une précision remarquable dans la prévision des trajectoires d’événements météorologiques extrêmes, tels que les ouragans et les cyclones, y compris leurs lieux d’atterrissage.

Efficacité exceptionnelle

Contrairement aux modèles traditionnels basés sur la physique qui nécessitent des heures de calcul sur des superordinateurs, GenCast fournit des résultats en seulement 8 minutes à l’aide d’un seul TPU Google Cloud, un processeur optimisé pour l’apprentissage automatique.

Formation innovante

Le modèle a été formé sur 40 ans de données météorologiques historiques (1979-2018), englobant un large éventail de variables atmosphériques telles que la vitesse du vent, la température, la pression et l’humidité. GenCast s’appuie sur son prédécesseur, GraphCast, en produisant des ensembles probabilistes de 50 prévisions ou plus, offrant une plus grande fiabilité pour la prévision d’événements météorologiques incertains.

Rôle de soutien

Pour l’instant, GenCast est conçu pour compléter plutôt que remplacer les méthodes traditionnelles basées sur la physique, en fournissant une clarté supplémentaire pour des événements tels que les vagues de chaleur, les vagues de froid et les vents violents. Ses applications pourraient s’étendre à des secteurs comme les énergies renouvelables, où des prévisions précises aident à optimiser la production d’électricité.

Implications pour la prévision météorologique

  • Prévision d’ensemble améliorée : la capacité de GenCast à générer des ensembles plus grands et plus fiables offre des niveaux de confiance améliorés pour les prévisions météorologiques extrêmes.
  • Coûts de calcul réduits : l’efficacité de GenCast rend les prévisions haute résolution plus accessibles et réduit la dépendance à des ressources de calcul coûteuses.
  • Potentiel de transformation : des experts, comme Sarah Dance de l’Université de Reading, ont noté que cette technologie représente un changement de paradigme dans la méthodologie de prévision, ouvrant la voie à une adoption plus large des approches basées sur l’IA.

Défis et questions

Bien que les performances de GenCast soient prometteuses, certains défis demeurent. Les auteurs n’ont pas encore répondu si leur système possède le réalisme physique nécessaire pour capturer « l’effet papillon », la cascade d’incertitudes à croissance rapide, qui est essentielle pour une prévision d’ensemble efficace.

Les données sur lesquelles GenCast s’est entraîné combinent des observations passées avec des « rétrospectives » basées sur la physique qui nécessitent des mathématiques sophistiquées pour combler les lacunes des données historiques.

Il reste encore un long chemin à parcourir avant que les approches d’apprentissage automatique puissent remplacer complètement les prévisions basées sur la physique. Il reste à voir si l’apprentissage automatique génératif peut remplacer cette étape et passer directement des observations non traitées les plus récentes à une prévision à 15 jours.

La voie à suivre

Il est peu probable que GenCast remplace les systèmes de prévision traditionnels dans un avenir proche. Au lieu de cela, il devrait servir d’outil d’assistance puissant, augmentant les modèles actuels et contribuant à des prévisions plus précises. Les services météorologiques nationaux et les industries qui dépendent d’informations météorologiques précises, telles que l’énergie et la gestion des catastrophes, sont sur le point d’en bénéficier considérablement.

Google va annuler le développement de la tablette Pixel 3

Vous vous souvenez de l’année 2019, lorsque Google a annoncé qu’il abandonnait les tablettes ? Et a ensuite taquiné la Pixel Tablet en 2022 avant de la sortir finalement en 2023 ?Eh bien, il semble que Et maintenant, il s’avère que la tablette Pixel rejoindra également cette liste, mais pas avant d’avoir obtenu une itération supplémentaire.

Il n’y a actuellement que la première génération de Pixel Tablet disponible sur le marché. Des initiés de Google affirment que – bien qu’une Pixel Tablet 2 soit en préparation – il n’y aura pas de troisième tablette. Plusieurs sources industrielles proches du projet ont confirmé que l’appareil, connu en interne sous le nom de «Kiyomi», n’avancera pas.

Selon des sources proches du dossier, Google a pris cette décision la semaine dernière, des communications internes et des réunions ayant eu lieu pour informer les équipes concernées. Le personnel précédemment affecté au projet Pixel Tablet 3 est redirigé vers d’autres initiatives au sein de l’entreprise.

La Pixel Tablet 2 est vraisemblablement trop avancée dans son développement pour s’arrêter net, c’est pourquoi elle sortirait l’année prochaine. Cependant, si Google abandonne l’intégralité du projet, personne ne sait exactement combien de temps durera son support.

Qu’est-ce que cela signifie pour la tablette de Google?

La tablette Pixel, qui semble si attrayante sur le papier, ne s’est pas avérée être l’expérience Android haut de gamme que nous espérions. La dernière tablette de Google, bien que pas mal en soi, n’avait rien de spécial non plus. L’écran 60 Hz en particulier lui donnait une impression de désuétude, un problème qui est également présent sur l’iPhone 16.

Cependant, au lieu de travailler à l’améliorer et à en faire la tablette Android dont nous avons besoin, Google l’abandonne tout simplement. En l’état actuel des choses, la tablette Pixel a été commercialisée comme une tablette «premium» de Google, alors qu’en réalité, elle ressemblait beaucoup à une tablette bon marché de Five Below. Elle était assez bon marché par rapport à d’autres tablettes haut de gamme comme l’iPad Air et l’iPad Pro, ainsi qu’à la série Galaxy Tab S de Samsung. Et Google ne peut vraiment pas facturer le même prix qu’Apple car, contrairement à iOS, Android n’est pas exclusif au Pixel.

Cela signifie concrètement que la Pixel Tablet 2, lorsqu’elle sera lancée l’année prochaine, sera une tablette boiteuse.

L’application Google Gemini arrive sur les iPhones

Depuis que Google a lancé son chatbot Gemini AI, il est devenu l’un des meilleurs chatbots génératifs actuellement disponibles, ainsi que sans doute le plus grand à ne pas utiliser le GPT d’OpenAI. Jusqu’à présent, il n’était disponible qu’en tant qu’application autonome pour les utilisateurs d’Android. En revanche, les utilisateurs d’Apple devaient accéder à Google Gemini via l’application Google. Cependant, cette situation est sur le point de changer.

Comme l’a noté 9to5Mac, au moins un utilisateur d’Apple aux Philippines a pu télécharger l’application Google Gemini depuis l’App Store. Cependant, l’application n’est pas encore disponible dans toutes les régions, mais fournit une icône dédiée pour accéder à Gemini et à ses fonctionnalités, y compris l’expérience expérimentale de chat en direct Gemini Live qui vous permet d’avoir des conversations orales réalistes en tête-à-tête avec le chatbot.

Actuellement, les utilisateurs iOS peuvent accéder à Gemini via un onglet dédié dans l’application Google Search. Cela n’est pas trop surprenant car de nombreuses expériences et sous-services Google ont tendance à être une expérience au sein de l’application Google, à la fois sur Android et sur iOS. Cependant, le fait que nous ayons une application autonome signifie que Google cherche peut-être à offrir une expérience plus intégrée et simplifiée aux utilisateurs d’iPhone. Cette application autonome donnerait aux utilisateurs éligibles l’accès à Gemini Live, qui est actuellement exclusif aux téléphones Android.

Gemini Live était initialement verrouillé derrière un abonnement Gemini Advanced, mais il est désormais gratuit pour tous les utilisateurs d’Android. On ne sait pas encore s’il sera gratuit pour les utilisateurs d’iPhone. Les propriétaires d’appareils Apple peuvent actuellement accéder au reste de Google Gemini via l’application Google et le site Web Gemini.

Nous ne savons pas quand l’application sera disponible pour tout le monde. La plupart des gens ne la voient pas encore, mais comme elle n’est pas commercialisée en tant qu’application « bêta », elle pourrait être déployée dans les prochaines semaines sur d’autres marchés comme les États-Unis.

L’application Google TV vous permet désormais de partager des films et des émissions avec un lien

L’application Google TV propose une nouvelle fonctionnalité très utile pour partager des films et des émissions de télévision avec des amis, la famille ou toute autre personne en envoyant un lien.

La nouvelle fonction de partage se présente sous la forme d’une icône située dans le coin supérieur droit de l’interface, lors de la consultation des informations d’un film ou d’un épisode. Le processus est simple : en appuyant sur cette icône, les utilisateurs peuvent générer un lien accompagné d’une vignette attractive représentant l’affiche du contenu.

Google TV simplifie le partage de films et séries avec ses proches

Ce lien, notamment, ne fonctionne que si vous avez installé l’application. Si ce n’est pas le cas, par exemple si vous ouvrez le lien sur un ordinateur, il vous redirige simplement vers le site Web principal de Google TV ou vers l’App Store de votre appareil pour installer l’application Google TV si vous utilisez Android ou iOS.

C’est une fonctionnalité pratique, certes, mais un peu limitée compte tenu de cette restriction.

Pour être clair, vous ne pouvez pas partager l’accès au contenu avec ce lien, mais uniquement la liste elle-même. C’est un moyen pratique de partager vos émissions et films préférés pour lancer la conversation, mais ces utilisateurs devront toujours avoir un abonnement ou acheter ce contenu pour pouvoir le visionner. La seule façon de partager votre bibliothèque Google TV reste d’utiliser les outils de la bibliothèque familiale de Google, qui sont techniquement censés être utilisés uniquement avec les membres de votre foyer.

Cette mise à jour s’inscrit dans une série d’améliorations continues de l’écosystème Google TV. Récemment, la version télévisée de l’application a également reçu une mise à jour permettant de suivre la progression des mises à jour des applications.

Bien que la nécessité d’avoir l’application installée puisse sembler contraignante, cette nouvelle fonction répond à une demande croissante de partage social dans la consommation de contenus médias. Elle facilite les recommandations entre amis et permet d’initier des conversations autour des contenus partagés, renforçant ainsi l’aspect communautaire de l’expérience Google TV.